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Au risque de la «confiance»…

L'hémicycle de l'Assemblée nationale en 2013 (source: Wikimedia Commons)
L’hémicycle de l’Assemblée nationale française en 2013 (source: ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Wikimedia Commons, lic. CC-BY-SA 2.0).

Le 25 août 2025, François Bayrou, Premier ministre, a annoncé demander un «vote de confiance» qui aura lieu le 8 septembre prochain. Sa responsabilité sera donc en jeu devant l’Assemblée nationale, comme dans le cas, plus classique ces dernières années, d’une motion de censure. Mais, entre la confiance et la censure, si l’enjeu est le même (le Gouvernement «tombera»-t-il ou non?), la procédure diffère et, surtout, la manière de comptabiliser les suffrages des députés. Le vote de confiance est bien plus risqué comme nous allons le voir.